Before sunset
En ce dernier jour de festival, nous nous sommes décidé à sortir munis de l'appareil photo, histoire de quitter (très provisoirement) C*nnes avec quelques souvenirs...
En sortant du bunker, nous sommes tombés sur cette affiche attendrissante:
Comme quoi, il y a aussi de belles choses qui se passent, dans le "Mordor". Evidemment, si vous la connaissez, n'hésitez pas à l'appeler... Après quelques "ooooooooooooh" compatissant, nous nous sommes éloignés pour regagner le coeur du royaumme de Sauron: le palais des festivals.
Nous en avons profité pour prendre une photo de ceux qui donnent un sens à la montée de cet escalier si prisée:
Toujours au rdv, même au milieu de l'après midi, même à 1 minute de la mer, même s'il fait une chaleur à crever, ce qui les fait tenir? les glacières cher lecteur éventuel, les glacières et les parasols! et aussi le bonheur que semble engendrer chez eux la vision d'un individu connu de plein d'autres individus (qu'ils n'aiment pas forcément par ailleurs, mais qui a le mérite d'être "connu"), et que ces pleins d'autres individus n'ont pas tous eu "la chance" de prendre en photo à 20 mètres derrière les barreaux d'une cage qu'ils se sont eux-mêmes créé. ça vaut bien toutes les insolations du monde ça, non? non? non, c'est vrai.
Pour le fun, on a aussi pris la photo que tout le monde doit avoir:
parce que de là, on ne voit pas que la moquette commence à devenir vraiment dégueulasse...
Bon voilà, j'étais partie pour un post respirant la joie de vivre et je recommence à être cynique... Eloignons nous un peu de l'oeil de Sauron...
Nous avons trouvé la paix sur la croisette:
Avant de faire demi tour, j'ai posé avec LA star incontestable et incontestée de ce festival:
Et puis en revenant au bunker, nous avons aussi pris, pour la non polémique, la photo d'une pub pour une exposition d'affiches à l'intérieur d'une église, mettant en avant.... le da vinci code...
Bien sûr, nous sommes sans doute passés à côté de l'essentiel, à côté de bien plus exceptionnel, cette ville rend philosophe. N'était-ce pas ainsi que commençait "le monde de Sophie"? en disant qu'il fallait s'étonner de tout... ici, tout est étonnant.